Le « journalisme gonzo » caractérise une pratique journalistique assumant des textes au parti pris subjectif généralement écrits à la première personne. Le gonzo va au-delà de la simple relation objective des faits. Par le biais de textes souvent autobiographiques, d’anecdotes et d’appréciations subjectives.
Le gonzo ou le journalisme subjectif
Souvent rédigé à la première personne, le journalisme gonzo revendique sa subjectivité. Le rédacteur fait part du ressenti qu’il éprouve au cours d’une enquête et/ou d’interviews visant à relater des faits ou des événements qu’il investigue.
Hunter S. Thompson et le gonzo
On associe le journalisme gonzo à l’écrivain et journaliste Hunter S. Thompson, qui fut popularisa cette pratique du journalisme. Né en juillet 1937 aux États-Unis, Hunter S. Thompson se fit connaître par ses méthodes d’enquête alliant une plume polémique à de prises de positions politiques assumées.