On qualifie de pisse-copie un journaliste multipliant les travaux à la tâche. On attribue à ces productions écrites excessivement abondantes une piètre qualité.
Cette expression, argotique et familière, se retrouve dans son équivalent « pisseur de copie« .
A l’origine, le terme était utilisé pour qualifier un écrivain livrant aux journaux des romans sous forme de feuilletons.