Le terme « tartiner », dans le contexte journalistique, possède une connotation péjorative. Il désigne l’acte de rédiger de manière excessive ou peu concise, souvent en étirant un contenu pour remplir l’espace disponible, au détriment de la qualité ou de la pertinence de l’information.
Qu’est-ce que « tartiner » en journalisme ?
Dans la presse, « tartiner » désigne le fait de produire un texte long, verbeux et parfois redondant, sans réel ajout d’information ou de valeur pour le lecteur. Cette pratique peut découler de diverses contraintes :
- Remplir un espace prévu dans une maquette lorsque le contenu initial est insuffisant.
- Rendre un article plus imposant pour donner une illusion de profondeur.
- Répondre à des impératifs éditoriaux qui favorisent la quantité sur la qualité.
Un journaliste accusé de « tartinage » risque de voir son travail critiqué pour son manque de concision et de rigueur. Les lecteurs, à leur tour, peuvent percevoir ce type de contenu comme laborieux ou ennuyeux.
Un synonyme de l’acte de tartiner est tirer à la ligne.